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Association Loi 1901 « D’un Papillon à une Etoile » ayant pour But essentiel de Défendre, Protéger, Promouvoir, Sauvegarder la Phalène & la Papillon -  Petit chien de l’Art et de l’histoire de France

 


HALLOWEEN PAPILLONNANT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

Quelle est l'origine d'Halloween ?

La fête d'Halloween est l'héritière de la célébration de "Samhain", célébrée il y a plus de 2.500 ans chez les Celtes et les Gaulois et qui était la plus importante de leurs festivités. Dans le monde celte, la nuit du 31 octobre au 1er novembre était le début de la nouvelle année. La fête d'Halloween était la célébration de la divinité celtique Samhain. Elle était marquée par tout un cérémonial. Pendant cette nuit les esprits des trépassés pouvaient revenir dans leur demeure terrestre et les vivants devaient les accueillir. Mais l’ouverture des portes de l’autre monde permettait aussi l’intrusion d’esprits maléfiques. Les esprits des morts de l'année devaient partir dans l'autre monde. 

La célébration de Samhain a été appelée fête d'Halloween après l'introduction en France de la célébration liturgique de la Toussaint en 835.  Le mot est un nom anglais qui est la contraction de All Hallows-even qui signifie littéralement la veille de la Toussaint. 

 

Halloween aux Etats-Unis

L' histoire d'Halloween est assez complexe. A la suite d'une famine, les coutumes et les pratiques celtiques se déplacèrent, avec l'émigration irlandaise de 1646/48, vers les États-Unis.  C'est à la fin du 19eme siècle, qu'elle devient une grande festivité aux Etats-Unis avec les déguisements et les décorations tournant autour des citrouilles, têtes de morts, fantômes, squelettes, sorcières. La fête d'Halloween se transformat en jour des enfants. Les enfants déguisés en sorcières ou en fantômes défilaient dans les rues en frappant aux portes et en revendiquant des petits cadeaux (des bonbons) sous menace de malédiction en cas de refus.

 

Arrivée d’Halloween en France

Jusqu'au début des années 90, la festivité d'Halloween est inconnue de la plupart des Français. La fête d'Halloween est arrivée en France en 1992, lorsque la société César, spécialisée dans le déguisement, travaille afin d'implanter en France ces coutumes. C'est le début de l'histoire d'Halloween en France. L'année du grand lancement, massif est 1997. Les entreprises américaines en France en font la promotion : Disneyland Paris, Coca-Cola , McDonald's. - La fête d'Halloween et les coutumes d'Halloween se sont plus répandu dans les pays du nord de l'Europe que dans les pays méditerranéens.

 

Les principaux symboles d'Halloween sont les citrouilles, les squelettes, les fantômes, les Pirates, les Sorcières et les chauve-souris. La coutume  de transformer des citrouilles en lanterne vient du folklore irlandais;  Elle est aussi liée à la légende de Jack O’Lantern. Les citrouilles illuminées dans la nuit permettaient à Jack de retrouver son chemin.

 

Comment fêtait-on Halloween chez les Celtes?

Samhain (se prononce "Sowène")  était, comme les 3 autres fêtes majeures du calendrier druidique, un "festival du feu". On l'appelait "le Jour entre les Années" puisqu'il séparait la Nonvel An de l'ancien. C'était un jour magique, un moment où la Mort cotoyait la Vie, où le Monde des Esprtits se mêlait à celui des Vivants, où Passé, Présent et Futur étaient liés...

De grands évènements mythologiques sont sensés s'être déroulés le jour de Samhain.

Nombre de ces évènements ont à voir avec une victoire temporaire des Forces de l'Obscurité sur celles de la Lumière. ce qui n'a rien d'étonnant à un moment où l'on entre dans la moitié froide et sombre de l'année...

 

Halloween, fête des enfants

La fête d'Halloween est très apprécié des enfants, c'est une fête des enfants. Ils jouent  à se faire peur et s'amusent à faire peur à ceux qu'ils rencontrent. Les déguisements d'Halloween sont le meilleur moment de la fête. Quand approche la date d'Halloween, les enfants se déguisent avec des costumes qui font peur et des maquillages terrifiants. Ils jouent aussi à tailler des citrouilles. Ils racontent des histoires qui font peur. Même dans certaines écoles publiques on célèbre cette fête d'Halloween comme une fête des enfants.

Les enfants, déguisés tradionnellement en Fantômes, Pirates, Vampires, Sorcières, Squelettes etc... ou autres personnages mystèrieux ou effrayants: Batman, Darth Vader, Freddy Krueger... font le tour des maisons du quartier, toquent aux portes et, tendant leur sac, prononcent la phrase "rituelle":

"Trick-or-Treat, smell my feet or give me something good to eat!" (= farce ou friandise, renifle mes pieds ou donne-moi quelque chose de bon à manger). Les adultes leur donnent alors des friandises... ou non...

Si les adultes acceptent et donnent ( = "Treat"),  pas de problèmes. Si certains refusent, ils s'exposent à être les victimes d'une farce ( = "Trick"), plus ou moins bonne suivant ses auteurs...

Halloween, aujourd'hui, est donc une occasion de se défouler en se déguisant, de rire de ses peurs et de s'amuser au moyen d'une imagerie macabre, "Spooky!", mais inoffensive et enfantine.

 

 

 

Le Concert d'Halloween
 

 

 


Le temps n'existe pas.


Bien que nos yeux ne le sachent pas, que notre corps ne le per-
çoive pas, que notre esprit ne s'accroche qu'au moment vécu,
le temps n'existe pas.
Seule la puissance de notre imagination nous permettra de le comprendre :

Ce que nous appelons notre réalité n'est pas LA réalité.


Imaginez que vous marchiez dans une rue très longue. Disons maintenant que cette rue représente le temps. Lorsque vous êtes à mi-parcours de cette rue, vous ne voyez plus les premières maisons qui la bordent, pas plus que vous n'apercevez encore ses derniers immeubles.
Pourtant pensez-vous que les maisons que vous avez dépassées se sont écroulées après votre passage, ou que leurs locataires sont morts ?
Doutez-vous que les immeubles que vous atteindrez dans quelques minutes ne soient déjà bâtis, déjà habités ?


Le temps ressemble à cette longue rue. Nous habitons dans cette rue et bien que nous ne soyons frappés que par l'image de l'instant présent, ce qui fut demeure, et ce qui sera vit déjà.
En voici un exemple...

 

 

Un jeune étudiant en médecine assis sur un banc du Parc Monceau, à Paris, profitait des rayons du pâle soleil automnal, un après-midi de la fin octobre 1909. Il s'appelait Louis Dubreuil.

Dès que ses cours à la Faculté et les tours de garde à l'hôpital le lui per-
mettaient, Louis s'échappait au parc.
Il aimait le grand air et la vie. Il aimait voir les enfants courir après leurs cerceaux, les bonnes pousser les landaus de leurs nourrissons. Il riait aux impertinences de Guignol et Gnafron, en passant devant le petit théâtre de plein air où s'agitaient les marionnettes.

Ce jour là, il comptait jouir des deux heures de liberté qui s'offraient à lui
pour regarder simplement s'agiter ce minuscule monde parisien

 

 

Les jambes étendues, les épaules calées sur le dossier du banc, il commençait à dodeliner doucement de la tête lorsqu'un vieux monsieur vint s'asseoir à côté de lui.

Un charmant vieux monsieur à barbichette et cheveux blancs qui souleva
légèrement son chapeau pour le saluer en lui souriant délicieusement.

Louis Dubreuil lui rendit son sourire, son salut et le regarda, attendri, sortir
des poches de sa redingote des morceaux de pain qu'il émietta pour les
oiseaux.
Les moineaux du Parc Monceau sont assez effrontés et toujours affamés.
Bientôt le banc fut environné d' une véritable cour de volatiles surexcités qui s'envolèrent dès que le pain fut dévoré.

 

 

Mais à la faveur de leur festin, les deux hommes lièrent conversation. Le vieux monsieur dit s'appeler Auguste Cabanis et confia à Louis qu'il venait tous les jours à cet endroit, à heure fixe, sur ce banc pour prendre l'air et nourrir les oiseaux.

Il s'étonna de ne jamais avoir rencontré Louis auparavant. Louis répondit qu'il venait au parc seulement quand ses études de médecine lui en laissaient le temps.

Ils causèrent quelques temps et, de fil en aiguille, en vinrent à parler de musique. Louis en raffolait. Auguste lui revéla que la famille Cabanis s'y adonnait. Il était de tradition que chacun d'entre eux jouât d'un instrument.

 

 

Les parents, les enfants Cabanis se donnaient du plaisir une fois par semaine en se réunissant pour faire de la musique ! Il invita timidement son jeune compagnon à venir chez lui, un soir, écouter un petit concert (oh ! bien modeste) de musique de chambre.

Si Louis le voulait… Louis accepta,enthousiaste. Dans ce cas, on l'attendrait, on le recevrait avec grand plaisir le surlendemain, 12 rue des Petites Ecuries, au troisième étage, à cinq heures de l'après-midi.

Louis Dubreuil fut exact au rendez-vous.
Madame Cabanis, une petite femme replette aux yeux rieurs, lui ouvrit la
porte et l'accueillit avec empressement.

 

 

Elle le fit entrer dans un douillet salon garni de très beaux meubles. On lui
présenta la famille. Pauline, leur fille (violoncelle) qui prendrait le voile dans
un an chez les Carmélites. Antoine leur fils (violon), qui se destinait à être
missionnaire. Julie leur autre fille (deuxième violon), et son jeune mari Ernest Brûlé (flûte). Monsieur et Madame Cabanis jouaient respectivement du clavecin et de la harpe.

On but un doigt de porto en grignotant quelques biscuits. On s'informa avec une délicatesse exquise et un réel intérêt des projets de Louis, avait-il en vue une spécialisation médicale, était-il fiancé ?

La conversation allait bon train, gaie,vive, chaleureuse.

 

 

Il flottait chez les Cabanis une atmosphère de joie et d'amour bien douce au cœur de Louis Dubreuil qui vivait comme exilé à Paris, loin de sa famille. Tous ces gens réunis là semblaient heureux d'être ensemble et il avait le sentiment de les avoir toujours connus. Il se sentait bien. Avant que le concert commence, il demanda à Mme Cabanis la permission de fumer, permission qui lui fut gracieusement accordée.

Elle le munit d'un cendrier puis alla prendre sa place à la harpe.
Des pièces de Mozart, Brahms, Schubert, Vivaldi s'enchaînèrent pour la plus grande satisfaction de tous.

La joyeuse flambée qui crépitait dans la cheminée ajoutait sa lumière à celle des flammes des bougies

 

 

Les reflets de ces feux multiples rebondissaient sur les bois vernis ou polis, doucement patinés des meubles, des instruments de musique et jusque dans les prunelles des musiciens.

Enfoncé dans une bergère moelleuse Louis les écoutait béatement.

Puis vint, trop tôt hélas, le moment de se séparer. Les Cabanis lui firent cortège pour le raccompagner à la porte.

On l'aida à enfiler son manteau, on lui redonna sa canne, son chapeau, ses gants. Comme il demandait si les peintures accrochées aux murs du couloir étaient des portraits de famille Monsieur Cabanis déroula pour lui sa généalogie.
, son père, là la mère de Mme Cabanis, là Georges son frère, qu'on voyait peu souvent, il était capitaine au long cours.

 

 

Enfin, après qu'on se soit promis de se recevoir aussi souvent que possible, Louis remercia ses hôtes, serra les mains à la ronde, descendit l'escalier et se retrouva dans la rue.

Au bout de quelques pas il eut envie de fumer. Il sortit un de ses petits cigares mais il eut beau fouiller ses poches pour trouver son briquet il ne le trouva pas.
Il en conclut qu'il l'avait oublié chez les Cabanis.

Malgré l'heure tardive, comme il n'avait parcouru que peu de chemin, que quelques minutes seulement s'étaient écoulées depuis son départ il pensa pouvoir retourner chez eux sans les déranger, sans les tirer de leur lit. Il fit demi-tour, regrimpa les marches et, arrivé au troisième étage frappa à leur porte.

 

 

Il dut frapper trop fort sans doute. Les échos caverneux qu'il réveilla derrière cette porte qui ne s'ouvrait pas en suscitèrent d'autres dans la cage d'escalier. Le concierge depuis le rez-de-chaussée, commandait d'une voix très fâchée que l'olibrius qui faisait du bruit en pleine nuit veuille bien s'arrêter.

Comme un bonheur n'arrive jamais seul, les locataires du premier étage et ceux du second sortirent à leur tour sur les paliers. L'immeuble était en ébullition et tous ces braves gens la tête coiffée de bonnets de nuit, montèrent comme un seul homme à la rencontre de Louis qui
ne comprenait plus rien.

On lui demanda rudement quelle mouche le piquait de cogner de la sorte à la porte d'un appartement inoccupé depuis vingt ans !

 

 

Il devait être saoul, ou alors il tramait un vol, mais cela ne se passerait pas comme ça ! Louis, éberlué, abruti par ce qu'il entendait, bafouillait tant qu'il eut beaucoup de peine à se faire comprendre d'eux. Il expliqua tant bien que mal qu'il avait passé la soirée avec les Cabanis, qu'ils avaient fait de la musique, qu'il venait de quitter cet appartement où toute une famille l'avait accueilli avec bienveillance.

On commençait à le regarder avec la crainte que ressentent les gens sains d'esprit devant les fous. Quelqu'un, tout de même, eut l'idée d'aller chercher, malgré que la nuit fut bien avancée, Monsieur Henri Brûlé, l'arrière-petit-fils des Cabanis qui habitait à quelques rues de là.

 

 

En attendant Louis serait le prisonnier des locataires tant que sa bonne foi ne serait pas reconnue.

Le descendant des Cabanis arriva, assez troublé qu'on l'eût tiré de son
premier sommeil pour des histoires à dormir debout. Mais enfin puisqu'il était là, est-ce que Louis aurait la bonté de lui faire part précisément du motif de son dérangement ?

Et très précisément Louis se présenta, raconta son histoire, dit qu'il était venu rechercher le briquet qu'il avait oublié là tout à l'heure.
Il décrivit si parfaitement les personnes qu'il avait rencontré que M. Brûlé commença à pâlir et demanda au concierge de quérir son trousseau de clefs pour ouvrir la porte de cet appartement du troisième étage, laquelle décidément, restait obstinément close malgré le raffut mené sur le palier.

Il fallut batailler un moment avant de faire jouer le pêne de la vieille serrure.
Une fois la porte ouverte, on alluma une lampe à pétrole afin d'éclairer les lieux et si Louis Dubreuil et Henri Brûlé y entrèrent d'un pas résolu, il furent bien les seuls. Les autres restèrent en arrière, retenus par une crainte superstitieuse au sujet d'une histoire qui commençait
à sentir le soufre.
L'appartement était sombre, désert, désolé. Il n'avait jamais été déménagé de ses meubles et une épaisse couche de poussière attestait de la longue solitude de l'endroit. Dans le couloir, à la lumière du quinquet Louis reconnu les portraits des ancêtres Cabanis légèrement voilés de toiles d'araignée.

 

 

Il en fit part à son compagnon, redisant devant chacun d'eux ce qu'il en avait retenu. Monsieur Brûlé balbutiait " oui, oui, c'est ça... Mon aïeul Cabanis, oui... Le grand-oncle Georges, oui... Oui, il était capitaine de vaisseau. Il est mort en mer. "
Louis Dubreuil sursauta : " Comment, mort en mer ? "

" Au cours d'une tempête au large du Cap Horn, en 1872. "


Et ainsi de suite...
Au fur et à mesure que Louis déroulait des souvenirs vieux d'à peine une ou deux heures pour lui, Monsieur Brûlé répondait par d'autres souvenirs vieux de plusieurs décennies.
Le jeune couple formé par Julie Cabanis et Ernest Brûlé étaient ses grands-parents.

 

 

Ils étaient morts depuis près de vingt ans. Pauline prit le voile chez les Carmélites en 1858. Antoine entra chez les Jésuites, il mourut en 1890, en Chine où il était missionnaire, peu de temps avant sa sœur Carmélite.

Quant à Mme et M. Cabanis, les arrières-grands-parents d'Henri, on les avait enterrés dans les années 1870.

La lampe à pétrole tremblait dans la main de Monsieur Brûlé, il blêmissait
à vue d'œil et Louis pensait vivre un rêve. Au bout du couloir, la porte
menant au salon était fermée. Avant de l'ouvrir Henri Brûlé retint Louis par
le bras et lui demanda, comme ultime preuve de sa bonne foi, de lui dire ce qu'ils trouveraient derrière.

 

 

Louis s'exécuta de bonne grâce, il décrivit le salon douillet, donna la place
des meubles, des instruments de musique, celle de la bergère sur laquelle il était assis, juste à côté d'un guéridon en bois de rose.

Ils poussèrent la porte...
Tout était en place, la cheminée, les meubles, le clavecin, la harpe, la ber-
gère, le guéridon en bois de rose. Mais comme le spectacle était différent ! Plus de feu joyeux dans la cheminée, plus de bougies brillantes, plus
de musique, il n'y avait plus rien que le froid et la tristesse de l'absence. La poussière, là aussi, s'étalait partout.

Partout, oui...

 

Sauf sur le briquet de Louis Dubreuil dont le métal luit doucement quand on approcha la lampe, et sauf sur les tronçons des deux petits cigares écrasés dans le cendrier posé à côté du briquet, sur le guéridon en bois de rose.

Albert Einstein (un savant qui travaillait à comprendre la relativité du temps) auquel on raconta ce concert de la nuit d'Halloween n'en fut pas plus étonné que cela.

Il dit simplement que Louis Dubreuil avait " trébuché sur une marche du temps.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

RECETTE
Potiron Surprise

 

Pour 6 personnes :

  • 1 potiron de 5 à 6 kg (plutôt haut et pas trop large
  • 2,5 sachets de croûtons à l'ail
  • 500 g de lardons fumés
  • 60 cl de crème liquide
  • gruyère râpé
  • thym, muscade, ail
  • sel, poivre
  • Préparation : 30 mn
  • Cuisson : 120 mn
  • Repos : 0 mn
  • Temps total : 150 mn

·         Préparation

 

1Découper le haut du potiron (en cône). Gratter l'intérieur du potiron pour ôter les graines et les fils.

2Faire revenir les lardons.

3Couvrir le fond du potiron de sel, poivre, thym, ail et muscade.

4Mettre successivement une couche de lardons, de croûtons, de gruyère et renouveler les couches pour arriver au moins à la moitié du potiron. Mélanger la crème avec du sel, poivre, thym, muscade et verser dans le potiron. Remettre le chapeau et mettre le potiron dans un grand plat allant au four.

5Laisser au four pendant 2 heures à thermostat 6, 180°C.

 


6Servir tel quel. Enlever le chapeau, servir une grande cuillère de farce par personne et gratter les bords intérieurs pour servir des morceaux de potiron.

Pour finir... Ne pas hésiter à mettre beaucoup de thym.

 

 

 

Potiron surprise : Etape 1

Potiron surprise : Etape 3

Potiron surprise : Etape 5

Potiron surprise : Etape 4

Potiron surprise : Etape 6

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 HAPPY HALLOWEEN

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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